D’une posture de contestation à une posture de contribution

Nouvelle année, nouvelles résolutions ! Comment passer d’une posture de contestation à une posture de contribution ? En résumé, comment arrêter de se plaindre et subir les événements de la vie. Passer de la plainte à l’action. L’année 2020, en raison de la Covid-19 et de ses conséquences économiques a été une année difficile pour vous : chefs d’entreprise, managers, salariés, auto-entrepreneur… Cette crise est une épreuve d’autant plus forte pour tous les contestataires nés. En effet, ceux qui auront le plus de chance de s’en sortir sont les contributeurs et les optimistes ! Alors découvrez en 5 petites étapes comment passer d’une posture de contestation à la contribution.
Sommaire
1. Accepter le manque de maîtrise sur la vie
La première étape est d’accepter que nous ne maîtrisons pas les évènements de la vie, du moins pas totalement. Prenons l’exemple de la Covid-19, on ne pas pas décider de supprimer la Covid-19. Comment agir sur quelque chose dont vous n’avez pas la maîtrise ? Ainsi, pour passer d’une posture de contestation à une posture de contribution acceptez le fait que vous manquez de maîtrise sur la vie et les évènements extérieurs. Certes, votre attitude au quotidien influence votre environnement mais accepter qu’il existe des imprévus est un préalable nécessaire pour mieux les vivre.
S’habituer à l’imprévu, c’est s’y préparer pour mieux y réagir. Ainsi, développez votre souplesse d’esprit, votre niveau d’acceptation du changement pour avoir une attitude dynamique plutôt que statique.
2. Intégrer qu’on a une totale maîtrise sur soi
La deuxième étape nécessaire pour ne pas tomber dans le fatalisme, c’est d’intégrer le fait que vous possédez une maîtrise totale sur vous-même. Pour reprendre l’exemple précédent, si vous ne pouvez pas décider de supprimer la Covid-19, il n’appartient qu’à vous de décider comment agir face à cette situation. La manière dont vous abordez une situation est un choix ! Il se peut que vous soyez dépassé par un événement, de telle sorte que vous ne soyez plus en mesure de décider et d’agir seul. Dans ce cas, faites-vous aider par des professionnels.
Reprendre la maîtrise sur soi, c’est se donner le pouvoir de réussir. Pour cela, prenez un temps d’introspection pour vous. Observez les moments où une action de votre part aurait pu engendrer un impact différent sur le cours de l’histoire.
3. Ecouter votre besoin profond
Pour devenir contributeur, vous devez être aligné, en accord avec vous-même. Pour cela vous devez écouter votre besoin et y répondre. Bien souvent, c’est à ce moment que notre raison s’oppose à nos émotions. C’est le moment où généralement, vous vous laissez guider par votre peur, votre colère, vos doutes, etc. Vous êtes alors paralysé, vous ne prenez pas les bonnes décisions et c’est la catastrophe.
Si vous êtes régulièrement dans cette situation, vous devez absolument vous faire accompagner pour ne pas rester bloqué et développer votre capacité à vous écouter pour surmonter vos émotions. Les périodes de crise requièrent un grand sang-froid et un bon contrôle émotionnel.
Que vous soyez chef d’entreprise, leader ou salarié, développez votre connaissance de vous-même pour ne pas être esclave de vos émotions. Dans le cas contraire, cela vous mènera forcément à prendre des décisions insatisfaisantes. Pour être aligné avec vous-même et être contributeur, vous devez répondre à vos besoins.
4. Comprendre que toutes les solutions sont en vous
La quatrième étape est de comprendre le fait que vous avez les solutions à votre problème en vous. En effet, vous avez en vous toutes les ressources pour trouver des solutions à votre problème.
Pour résoudre votre problème, il vous manque peut-être des connaissances spécifiques, des compétences ou autre chose mais vous avez en vous les capacités soit pour apprendre soit pour aller solliciter les personnes ayant les compétences. Votre plus grande richesse est votre cerveau, votre matière grise.
Sortez des sentiers battus, faites place à votre créativité pour imaginer des solutions nouvelles. Nous entendons fréquemment des gens dire : “je ne suis pas créatif”. Si c’est votre cas alors :
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- Premièrement, n’idéalisez pas la créativité et l’innovation. Ce n’est pas parce que vous n’inventez pas la prochaine source d’énergie renouvelable qui sauvera le monde que vous n’êtes pas créatif et innovant.
- Deuxièmement, ne restez pas isolé. Tous les grands inventeurs-innovateurs, se sont inspirés d’idées déjà existantes. Croire que la créativité c’est avoir une idée révolutionnaire que personne n’avait eue avant est erroné. C’est en équipe que vous trouverez des solutions.
- Troisièmement, travaillez, travaillez et travaillez ! La créativité et l’innovation sont avant tout le résultat d’un travail acharné. Développer votre créativité, c’est possible !
“Le génie est fait d’1% d’inspiration et de 99% de transpiration”, Thomas EDISON, inventeur.
Soyez donc bienveillant avec vous-même, l’expérimentation et l’échec sont les plus grandes sources d’apprentissage.
5. Agir par petits pas
La dernière étape pour passer d’une posture de contestation à une posture de contribution c’est d’agir étape par étape ! Établissez une stratégie d’action. Commencez par des petits pas pour ensuite faire de grands pas. Faites-le sans jugement. Ce qui compte c’est d’avancer et de construire avec des fondations solides. Ainsi, ne valorisez pas à l’excès les actions à réaliser pour atteindre un objectif et ne dévalorisez pas vos actions.
Ne vous entravez pas vous-même : agir par petit pas permet de découper une grosse problématique en plusieurs petites parties. Cela permet d’atteindre plus régulièrement le succès et donc de se féliciter et de s’encourager.
Avoir une posture de contestation est facile et confortable mais déresponsabilisant. Être dans cette posture de temps à autre n’est pas grave. Ce qui est grave c’est y rester. Entrer dans une posture de contribution c’est s’assurer le succès et la réussite !
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